* Rêveurs et mangeurs de papier *

* Rêveurs et mangeurs de papier *

Lore de Alexandra Bracken

 

 

 

 

Fantasy Urbaine

628 pages

Parution : 16 septembre 2021

Editions DESAXUS

 

 

 

Un roman coup-de-poing qui plonge la mythologie grecque en plein New York dans une chasse aux dieux épique et effrénée. Les jeux ont commencé et elle joue pour sa vie.

 

 

 

 

Synopsis :

 

 

De nos jours à New York, un jeu meurtrier est sur le point de commencer : l'Agôn. Tous les sept ans, pendant une semaine seulement, neuf dieux grecs sont forcés de parcourir la Terre en tant que mortels pour avoir osé défier le grand Zeus. Ils sont chassés par les descendants de lignées prestigieuses, tous désireux de tuer un dieu et de s'emparer de son pouvoir ainsi que de son immortalité.
Après que sa famille a été brutalement assassinée par une lignée concurrente, Lore a fui ce monde brutal, tournant le dos aux promesses de gloire éternelle de la chasse. Pendant des années, elle a repoussé toute idée de vengeance envers l'homme, maintenant un dieu, responsable de la mort de ses proches.
À l'aube de la nouvelle chasse, deux participants recherchent la jeune femme : Castor, un ami d'enfance que Lore croyait mort et Athéna, l'une des dernières divinités d'origine, qui est grièvement blessée. La déesse lui propose une alliance contre leur ennemi commun et un moyen de quitter l'Agôn pour toujours. La décision de Lore de lier son destin à celui d'Athéna aura un coût mortel et ne sera peut-être pas suffisante pour stopper l'essor d'un nouveau dieu dont le pouvoir pourrait détruire l'humanité.

 

 

 

 

 

L'avis de *Sabrina* rêveuse et mangeuse de papier

 

 

Tous les sept ans, pendant sept jours, neuf dieux grecs sont envoyés sur terre et perdent leur immortalité. Pendant ces sept jours, des chasseurs les traquent pour les tuer et récupérer leur pouvoir ainsi que leur immortalité. Lore, descendante de Persée, ne veut plus rien avoir à faire avec cette chasse, ni avec son ancienne vie. Pourtant, quand elle tombe nez à nez avec Castor, son ami d'enfance, puis avec Athéna, blessée, la jeune femme réalise qu'elle est prête à se battre de nouveau...

J'étais assez séduite par l'idée de départ mais ... le début de cette lecture n'a pas été si simple. Si l'intrigue se met en place naturellement, les personnages sont si nombreux que ça ralentit un peu la compréhension. Dans certains cas, je ne comprenais pas trop qui ils étaient réellement, ni si leur présence était positive avant qu'ils ne tentent de s'étriper. Pour le coup, le petit descriptif sur les différentes lignées concurrentes au début du roman est fort utile et permet de surpasser ce petit obstacle. Puis le récit se révèle suffisamment dynamique pour faciliter la découverte et ça m'a un peu rassurée.

Grands héritages, grands pouvoirs, grandes alliances, grands affrontements, grandes trahisons. Au cœur d'un New York moderne. Je me suis laissée prendre au jeu peu à peu. J'ai aimé suivre le groupe qui s'est formé, mais plus encore me plonger dans les chapitres qui racontent le passé, et découvrir justement comment ces éléments du passé viennent transformer doucement l'intrigue et notre héroïne. Je pense avoir eu le déclic à la moitié du roman. Tout était plus familier, plus passionnant. Les révélations commençaient à tomber. L'action était toujours aussi présente et l'issue de cette grande bataille m'obsédait. Finalement, j'ai terminé le roman d'une traite avec un ressenti global vraiment positif.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Puisque l’Agôn ne voulait pas la laisser partir, elle les battrait à leur propre jeu et les détruirait avant qu’ils puissent la briser encore. »

 

« Je n’ai jamais eu peur que d’une chose : être impuissante. Ne pas pouvoir protéger les gens que j’aime, dit Lore. »

 

« Lore avait été en colère pendant si longtemps – contre l’Agôn, mais surtout contre elle-même. Cette rage n’était pas entièrement une mauvaise chose, en soi : elle vous donnait des forces, vous apportait énergie et détermination… mais elle finissait par devenir un poison avec le temps. »

 

« Comment exprimer ce qu’elle ressentait ? C’était comme retirer son armure, déposer son épée et exposer toutes les parties les plus vulnérables de son être. »

 

« ... il ne comprenait pas que c’était au milieu de ces ombres que vivaient les monstres. Que l’on ne pouvait pas avoir peur de les suivre. Et que le seul moyen de les détruire était d’avoir les dents plus acérées qu’eux, le cœur plus noir. »

 

 

 

 

 

 

 

 

Disponible en librairie.

 



02/10/2021
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